Samedi sur l'île Notre-Dame, plusieurs personnes ont souffert de coup de chaleur et j'étais l'une d'entre elle.
Je me suis méfiée avant même mon départ au duathlon et j'ai pris la peine de me verser de l'eau abondamment sur la tête quelques minutes avant de partir. J'avais à peine parcouru 5 km de ma première boucle de 10 que déjà, je sentais une très forte chaleur au niveau de la tête. Je me suis arrosée à chaque point d'eau mais je n'ai vraisemblablement pas assez bu car sur mon vélo, j'ai vidé ma bouteille de Gatorade très rapidement, soit après seulement 2 tours sur 9.
Une première crampe douloureuse au mollet m'a forcée à m'arrêter et à débarquer de mon vélo durant le 2e tour. Ce qui ne m'étais jamais arrivée auparavant en 3 ans de triathlon. J'ai ensuite ramassé une bouteille d'eau mais il aurait été plus sage de prendre du Gatorade, ce qui m'aurait fournit des électrolites.
Comme je considérais ce duathlon comme une courte distance et que j'étais convaincue qu'il ne ferait pas si chaud, je n'ai pas pris la peine de m'amener des capsules de sel. J'aurais dû car à la première apparition d'une crampe, j'en aurais pris.
Au fil d'arrivée, j'ai eu des crampes musculaires douloureuses et des frissons. En fait, j'étais complètement gelée. Ma pression était plus élevée qu'à l'habitude et mon rythme cardiaque demeurait élevé même lorsque j'étais allongée (près du double de mon rythme cardiaque habituel).
Contrairement à ce qui se produit habituellement durant un coup de chaleur, je n'ai pas fait de fièvre et j'ai été chanceuse car je n'ai pas eu de vomissement.
Ça m'a pris environ une heure pour parvenir à me réchauffer sous 4 couvertures de laine et en prenant soin de retirer mes vêtements mouillés.
Selon la secouriste qui s'est gentiment occupée de moi, je me serais trop abondamment arrosée avec de l'eau durant ma course et j'aurais trop descendu la température extérieure de mon corps. Je ne suis pas trop certaine de comprendre la logique car en théorie, il me semble qu'il est conseillé de s'arroser aux points d'eau...
Je me suis méfiée avant même mon départ au duathlon et j'ai pris la peine de me verser de l'eau abondamment sur la tête quelques minutes avant de partir. J'avais à peine parcouru 5 km de ma première boucle de 10 que déjà, je sentais une très forte chaleur au niveau de la tête. Je me suis arrosée à chaque point d'eau mais je n'ai vraisemblablement pas assez bu car sur mon vélo, j'ai vidé ma bouteille de Gatorade très rapidement, soit après seulement 2 tours sur 9.
Une première crampe douloureuse au mollet m'a forcée à m'arrêter et à débarquer de mon vélo durant le 2e tour. Ce qui ne m'étais jamais arrivée auparavant en 3 ans de triathlon. J'ai ensuite ramassé une bouteille d'eau mais il aurait été plus sage de prendre du Gatorade, ce qui m'aurait fournit des électrolites.
Comme je considérais ce duathlon comme une courte distance et que j'étais convaincue qu'il ne ferait pas si chaud, je n'ai pas pris la peine de m'amener des capsules de sel. J'aurais dû car à la première apparition d'une crampe, j'en aurais pris.
Au fil d'arrivée, j'ai eu des crampes musculaires douloureuses et des frissons. En fait, j'étais complètement gelée. Ma pression était plus élevée qu'à l'habitude et mon rythme cardiaque demeurait élevé même lorsque j'étais allongée (près du double de mon rythme cardiaque habituel).
Contrairement à ce qui se produit habituellement durant un coup de chaleur, je n'ai pas fait de fièvre et j'ai été chanceuse car je n'ai pas eu de vomissement.
Ça m'a pris environ une heure pour parvenir à me réchauffer sous 4 couvertures de laine et en prenant soin de retirer mes vêtements mouillés.
Selon la secouriste qui s'est gentiment occupée de moi, je me serais trop abondamment arrosée avec de l'eau durant ma course et j'aurais trop descendu la température extérieure de mon corps. Je ne suis pas trop certaine de comprendre la logique car en théorie, il me semble qu'il est conseillé de s'arroser aux points d'eau...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire