Mon premier demi-marathon aura été un coup de foudre avec la course à pied. Moi qui n’avais jamais participé à une course de ma vie, je débute ma passion avec 21.1 km!
Cette passion n’aurait jamais vu le jour sans un défi lancé par ma collègue et amie, Sylvie, que je ne connaissais pas encore beaucoup. Au printemps, elle me lance l’idée de courir 10 km dans le cadre du marathon de Montréal. Je suis d’abord estomaquée par l’ampleur de la tâche, moi qui cours à peine 4 km, deux ou trois fois semaine. Mais je me dis pourquoi pas! Puis trois semaines avant l’événement, comme je peux enfiler une douzaines de kilomètres sans problème, mon conjoint me persuade de m’inscrire au demi-marathon et m’offre mon premier ordinateur Polar.
Cette passion n’aurait jamais vu le jour sans un défi lancé par ma collègue et amie, Sylvie, que je ne connaissais pas encore beaucoup. Au printemps, elle me lance l’idée de courir 10 km dans le cadre du marathon de Montréal. Je suis d’abord estomaquée par l’ampleur de la tâche, moi qui cours à peine 4 km, deux ou trois fois semaine. Mais je me dis pourquoi pas! Puis trois semaines avant l’événement, comme je peux enfiler une douzaines de kilomètres sans problème, mon conjoint me persuade de m’inscrire au demi-marathon et m’offre mon premier ordinateur Polar.
Quelques semaines plus tard, il dira : « Mon dieu, j’ai créé un monstre ». En effet, après cette première expérience, je deviens dépendante de l’adrénaline et de l’endorphine, je compile et analyse les statistiques de mon ordinateur, je deviens complètement accro à la course à pied!
Le demi-marathon de Cumberland, un mois plus tard, sera ma première expérience de « lapin ». Durant cette deuxième course, je réussi à couper 8 minutes sur mon premier choro, malgré un parcours plus exigeant, grâce à mon « lapin » Jean-Pierre que je réussirai à suivre durant les 14 premiers kilomètres.
C’est en jasant avec lui, la veille de la course, que j’en apprends un peu plus sur le triathlon et sur ce qu’est un Ironman. Je me demande alors si je pourrais un jour moi aussi faire un triathlon… Mais j’aurais du chemin à faire car par les années passées, j’ai été handicapée par ce qu’on appelle le syndrome du défilé thoracique. Une douleur constante aux membres supérieurs me gênait constamment dans mon train train quotidien. Je devais, par exemple, déposer ma fourchette entre deux bouchées parce qu’il était trop douloureux de la tenir. J’étais incapable de soulever le coin d’une page de journal sur la table lorsque je voulais lire un article. En revenant du travail, je déposais mes bras sur un coussin pour ne pas avoir à en supporter le poids… En 2005, je vais beaucoup mieux, mais pourrais-je vraiment me tenir sur un guidon et faire du vélo ?...
Le demi-marathon de Cumberland, un mois plus tard, sera ma première expérience de « lapin ». Durant cette deuxième course, je réussi à couper 8 minutes sur mon premier choro, malgré un parcours plus exigeant, grâce à mon « lapin » Jean-Pierre que je réussirai à suivre durant les 14 premiers kilomètres.
C’est en jasant avec lui, la veille de la course, que j’en apprends un peu plus sur le triathlon et sur ce qu’est un Ironman. Je me demande alors si je pourrais un jour moi aussi faire un triathlon… Mais j’aurais du chemin à faire car par les années passées, j’ai été handicapée par ce qu’on appelle le syndrome du défilé thoracique. Une douleur constante aux membres supérieurs me gênait constamment dans mon train train quotidien. Je devais, par exemple, déposer ma fourchette entre deux bouchées parce qu’il était trop douloureux de la tenir. J’étais incapable de soulever le coin d’une page de journal sur la table lorsque je voulais lire un article. En revenant du travail, je déposais mes bras sur un coussin pour ne pas avoir à en supporter le poids… En 2005, je vais beaucoup mieux, mais pourrais-je vraiment me tenir sur un guidon et faire du vélo ?...
1 commentaire:
WOW!
Trop cool la photo de nous trois. Ça me rend presque nostalgique. C'était à mon premier 5 km à vie. Le temps passe vite!
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