28 août 2016
Logés à l’hôtel Marie-Rollet, dans le
Vieux-Québec, mon amoureux et moi sommes à 10 minutes à pied du transport par
autobus qui nous amènera à la ligne de départ. Nous nous levons tout de même à
4h00 du matin afin d’être certains d’embarquer dans le premier autobus. Nous devons
courir avant notre demi-marathon car selon notre programme, 35 km sont prévus aujourd’hui.
Malheureusement, le temps file rapidement.
Avec le transport et un petit tout aux toilettes, il est déjà 6h00 lorsque je
commence à courir. Comme je veux être de retour 15 minutes avant le départ, j’ai
seulement le temps de courir 8 km. Il me faudra donc en ajouter 6 autres
lorsque je franchirai la ligne d’arrivée.
De retour à la
ligne de départ à 6h45, j’aperçois le lapin de 1h45. Je sais que selon mon
programme, je dois le laisser partir sans moi. Je dois garder un pace mollo
puis accélérer lorsqu’il me restera 9 km à parcourir. Je m’en tiens donc au
programme et débute ma course à environ 5 :20 / km. Je me sens bien, c’est
une vitesse confortable malgré les côtes qu’on doit monter pour traverser le
pont. J’avale un premier gel autour du 7e km.
Tranquillement
les kilomètres s’ajoutent au compteur. Au 12e km, c’est le temps d’accélérer
et de prendre un deuxième gel. Ma vitesse passe à mon pace marathon, c’est-à-dire
5 :00 /km. Je me sens bien, il y a de l’ambiance et le parcours est plus
facile.
Je
franchis le fil d’arrivée en 1 :49 :14, plus rapidement qu’à Lachine,
malgré un parcours plus exigeant. Je suis en meilleure forme cette semaine ! Mais
ce n’est pas terminé. Je ramasse ma médaille, prends quelques verres de
Gatorade et repars rapidement pour ajouter mes derniers 6 km, cette fois à une
moyenne de 5 :30 / km.
De
retour près du finish line, je croise mon amoureux et nous décidons de profiter
du service de massothérapie gratuit offert aux coureurs. J’aurai doit à un
massage à 4 mains de 10 minutes consacré surtout à mes tendons d’Achille qui
sont un peu douloureux dernièrement.
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