Voilà, c'est ma dernière compétition de l'été.
Ce matin, je m'offre le plaisir de participer à ce duathlon que j'aime bien dans les Mille Îles. C'est ici que j'ai fait mon premier triathlon olympique en 2006. Mais pas de triathlon aujourd'hui. Mon expérience difficile à Magog m'a enlevé le goût de nager en eau libre. Je ne veux plus me battre contre cette peur qui me noue les entrailles. Relever des défis et essayer de surmonter ses peurs, je veux bien. Mais ce que je refuse, c'est d'imposer à mon corps et à mon esprit, surtout, ce moment intense où j'ai l'impression d'être en état de survie. Ça, non merci.
Alors j'ai opté pour la terre ferme. Un duathlon. Pendant que mon amoureux, lui, ira nager dans le fleuve.
Il y a peu de participants (25) sur la ligne de départs et seulement 9 femmes. Je n'ai pas l'impression que ce soit très important de bien se positionner... mais je m'installe tout de même à l'avant. Nous partons courir un premier 2,5 km. L'itinéraire : faire un tour de la marina et un allé-retour dans l'ancien tunnel du train sous un jeu d'éclairage multicolore. C'est la grande attraction cette année !
Au turn-around, il me semble bien être première chez les femmes. C'est donc très motivée à conserver cette place que j'enfourche mon vélo pour entreprendre les 20 km. Je croise mon amoureux à deux reprises, lui qui doit rouler le double de la distance, soit deux fois le trajet que j'emprunte. Mes pulsations cardiaque tourne autour de 170 battements / min alors que je pédale contre le vent pour revenir à la zone de transition.
Pour ma dernière portion de course (5 km), je refais deux boucles du même parcours que la première fois. Ce qui m'amène à courir de nouveau dans le tunnel !
Je franchis le fil d'arrivée tout de même contente que ce soit terminé.
Il y a peu de participants (25) sur la ligne de départs et seulement 9 femmes. Je n'ai pas l'impression que ce soit très important de bien se positionner... mais je m'installe tout de même à l'avant. Nous partons courir un premier 2,5 km. L'itinéraire : faire un tour de la marina et un allé-retour dans l'ancien tunnel du train sous un jeu d'éclairage multicolore. C'est la grande attraction cette année !
Au turn-around, il me semble bien être première chez les femmes. C'est donc très motivée à conserver cette place que j'enfourche mon vélo pour entreprendre les 20 km. Je croise mon amoureux à deux reprises, lui qui doit rouler le double de la distance, soit deux fois le trajet que j'emprunte. Mes pulsations cardiaque tourne autour de 170 battements / min alors que je pédale contre le vent pour revenir à la zone de transition.
Pour ma dernière portion de course (5 km), je refais deux boucles du même parcours que la première fois. Ce qui m'amène à courir de nouveau dans le tunnel !
Je franchis le fil d'arrivée tout de même contente que ce soit terminé.
Je suis fatiguée. Je me suis sentie en sur-entraînement toute ma saison 2017. J'ai le goût de prendre une pause maintenant.
Je m'installe dans la zone de transition, à l'entrée du tunnel, pour prendre des photos de mon amoureux qui termine sa course de 10 km. Puis je me dirige vers l'endroit où sont remises les médailles pour vérifier si je suis effectivement première...
Eh oui, je termine ma saison en beauté et je me suis bien amusée.