Iron Roman - Le récit de mon Ironman

Pour lire le compte-rendu de mon expérience à Lake Placid le 26 juillet 2009, cliquez ici.












Pour voir le "Photo Roman" de mon Ironman, cliquez ici.





jeudi 28 mai 2009

Objectif: 280 km à vélo

Ce week-end, c'est le camp d'entraînement du club de Triathlon de St-Lambert dont je fais partie. C'est à Sherbrooke. L'an dernier, quelques braves étaient revenus du camp à vélo le dimanche. Je les avais trouvés courageux mais surtout, je les avais enviés!

Emballée par ma sortie autour du lac Memphrémagog le week-end dernier, j'ai décidé que moi cette année, je faisais l'aller/retour à vélo! Eh oui, je suis une triathlète timbrée.

2 x 140 km.


Pour l'aller, une copine du club m'accompagnera. Ce sera une histoire de femmes sous la pluie!

Dimanche, en théorie, mon coach m'accompagnera. Qui d'autre? Je ne sais pas encore.


Je vous compterai ça en revenant!

dimanche 24 mai 2009

La première fois

Hier, j'ai roulé 120km à vélo pour la première fois de ma vie et j'ai repensé à toutes ces premières fois.

Mon premier 10km en course à pied. C'était lors d'un week-end de camping avec Valérie et Guillaume. Wow, j'étais fière de mon coup! J'étais en route vers mon premier demi-marathon.





Mon premier triathlon, un sprint! Celui de Trois-Rivières où j'ai pensé mourir noyée!

Ma première nage en eau libre, lors du triathlon de Ste-Agathe. Que de préparation mentale il m'aura fallu pour surmonter ma peur du gouffre noir et sans fond! Un sourire éclairait mon visage à chacune des bouées que je dépassais!





Mon premier olympique, quelques mois plus tard, à Brockville. Nager 1,5 km dans les eaux du fleuve que j'avais tant visitées en plongée sous-marine! Ça, ça m'avait fait plaisir.







Et mon premier marathon bien sûr à Montréal, avec mon premier vrai lapin officiel! Mais un marathon, c'est un premier 24km, puis un 28 et un 32 km! Ouf, le kilométrage s'accumule. Et bien-sûr, c'est une première expérience avec Le MUR!


Mon premier demi-ironman. L'euphorie totale en franchissant le fil d'arrivée! Beat the element! Il faisait froid, il ventait, mon orteils frigorifiés formaient des bosses au bout de mes souliers. Mais quelle expérience inoubliable qui me préparait d'une certaine façon à mon premier Championnat du monde où mère nature m'a malmenée. Moi, la bouteille à la mer, qui transportait un message d'espoir parmi les vagues et dans l'eau glacée: DNA, Hélène, DNA! Ne jamais abandonner.

(photo ITU)

Et cette année, en plus de mon premier Boston, je me dirige vers mon premier Ironman.


Ironman.


Juste le mot peut faire peur. Quand j'explique l'épreuve à des néophytes et que j'énumère les épreuves: 3,8 km de nage, 180 km de vélo et un marathon... Parfois je n'en reviens pas moi-même et je n'ose pas trop m'attarder. Ça semble irréel et tellement, tellement, trop!

Mais aujourd'hui, une fois de plus, je me sens invincible! Je me sens tellement en confiance. Je sais que je serai prête le 26 juillet prochain!





Et lorsque le moral redescendra, (les up and down, ça m'arrive souvent!), eh bien je reviendrai lire ce texte. Et je repenserai à toutes ces premières fois. Et je saurai alors que oui, un Ironman, c'est possible.

Super semaine!

Wow, quelle semaine.

On plus de m'offrir des sorties de vélo à Lake Placid et Magog, je clos ma semaine de 16h15 d'entraînement en beauté avec un duathlon en guise de sunday.

Pour les résultats, cliquez ici.





Après mon week-end à Lake Placid et mes 110 km de vélo lundi, je me suis offert une journée et demi de congé. Repos total mardi et dodo à l'heure des poules. Mercredi, une heure de nage seulement après le travail. Il fait froid et j'ai eu mon quotas le week-end dernier. Alors je remets mes intervalles de course à pied au lendemain. Jeudi donc, intervalles en côtes sur l'île Ste-Hélène durant mon heure de lunch. Ça va bien, mais le cool down est un peu pénible. Je retourne au travail avec 12 km en poche. À 18h30, rendez-vous avec le club au circuit Gilles Villeneuve pour des intervalles de vélo cette fois. Je suis bien contente de gagner mon lit à mon retour à la maison! Vendredi, je reviens du travail à la course: 24 km. Je visais 28 mais une douleur au genoux droit m'incite à raccourcir mon trajet et même à marcher les 2 dernier km. Ça m'inquiète un peu mais bon, tout n'est pas toujours parfait.

Samedi! Ahhhh! Samedi! Super belle sortie de vélo autour du Lac Memphrémagog avec mon copain Guillaume (pour le trajet, cliquez ici). Amusant, j'ai déjà traversé la frontière en courant à deux reprises (marathon de Niagara Falls 2007 et 2008) et cette fois, je la traverse à vélo.

Entre les kilomètres 40 et 60, j'ai peur de regretter ma décision. Rouler 120km, est-ce bonne idée aujourd'hui? Il y a un faux plat montant, nous avons le vent de face et nous sommes exposés parce que nous roulons à travers les champs. Ouf. Vraiment difficile. Suis-je trop fatiguée? Eh non, dès que le trajet oblique un peu, ça se replace et lorsque nous nous retrouvons de l'autre côté du lac, le party commence! Ça roule super bien, je me sens en très grande forme. Attachez vos tuques à partir de Georgeville! Les dernier 25 km, on les roule à fond la caisse. D'une vitesse moyenne de 25 km/h depuis le début du parcours, nous passons à près de 32 pour le restant. Debout sur mon vélo, je valse dans les montées. C'est plein de vallons et je me sens comme un enfant sur des montagnes russes. Je me sens fraîche comme une rose. Et de l'énergie plein les cuisses. Guillaume me conseille d'y aller mollo, après tout, j'ai un duathlon le lendemain... Mais je m'en fous! J'ai du fun et ça n'a pas de prix. Demain, c'est demain! ;o)

Samedi soir, je m'endors comme un bébé! Habituellement, la veille d'une compétition, je suis nerveuse et je dors mal. Est-ce l'habitude qui s'installe? Non. C'est tout simplement parce que je n'ai absolument aucune attente pour le lendemain. Je considère le duathlon de Chambly comme un entraînement du dimanche matin. Des intervalles. Et j'y vais strictement pour m'amuser. Pour participer à une activité du club. Et effectivement, j'ai beaucoup de fun!





Lorsque je termine mon premier 5 km de course, une seule pensée me traverse l'esprit: ma course est faite! Je suis satisfaite. Même avec un gros volume d'entraînement, je parviens à maintenir une bonne vitesse en course à pied. C'est de très bon augure pour moi. Que demander de plus?

Mais j'ai un peu trop de fun et je ne suis pas concentrée. Après mes 5 tours de 1 km, je passe tout droit et manque l'entrée dans la zone de transition. Bravo! Mon coach me crie après! ;o) Mais non, mais non, je ne ferai pas un tour de trop. Je saute sur Pinarello d'amour et entreprends mes 7 tours de vélo. Vitesse moyenne sur mon Cateye: 31.3 km/h. Ma vitesse, je ne la regarderai jamais durant le duathlon, ni quand je cours ni quand je roule.

Autre erreur de concentration, j'oublie de détacher un de mes souliers de vélo lorsque mes tours sont complétés. Ça me prend donc un peu plus de temps à débarquer de mon vélo ! Pas grave, on s'en fout, j'ai du fun.

Lorsque mes 5 derniers km de course à pied sont terminés et que je jette un coup d'oeil aux résultats, je suis heureuse de constater que j'ai conservé une vitesse constante pour mes deux portions de course à pied. Franchement, ça clôt ma semaine en beauté.





vendredi 22 mai 2009

Gala Excellence St-Basile-le-Grand


Je pense que je vais manquer un autre entraînement du club! Mais j'ai une bonne raison.

Cool! Une photo surprise.



Petite surprise par la poste hier. Cool!
Et l'organisatrice de l'événement, Nicole Lefrançois, m'a fait parvenir l'original par courriel. Un gros merci!

jeudi 21 mai 2009

Kilométrage en vélo

Un copain du club me demandait combien de kilométrage j'avais fait depuis le début de ma saison. Je n'en avais aucune idée. Après vérification: 1691 km.

Paradoxal

La semaine dernière, je me plaignais de n'avoir jamais le temps de rien faire d'autre que de m'entraîner. Paradoxalement, après un entraînement, je suis toujours toute contente d'aller ajouter mes heures dans mon bilan de la semaine et je suis toujours fière de voir le total qui grossit. Bizarre la petite madame.


C'est pour cela que je suis une TT (triathlète timbrée!).

mardi 19 mai 2009

Mini camp d'entraînement à Lake Placid




Quoi de mieux qu’un mini camp d’entraînement à Lake Placid avec conjoint et amis pour se remettre du plomb dans l’aile.





Samedi, j’ai eu droit à un échantillon du Ironman 2008 : pluie à boire debout pendant nos 75 km de vélo. Avec un thermomètre qui oscillait autour de 16 degrés et bien que trempés « bord en bord », nous n’avons pas vraiment eu froid mais il ne fallait pas s’arrêter par contre.
Ensuite, j’ai complété par 12 km de course à pied sur la rallonge du parcours de vélo. Encouragée par les grenouilles qui chantaient sous la pluie, je vous avoue que j’ai eu du plaisir. Splish splash, mes pieds dans les flaques d’eau ont servi de percussion à leur musique.




Dimanche, pas de pluie, mais il fait froid. Le thermomètre a peut-être atteint 8 degrés. Tout le monde opte pour une longue distance de course à pied. Je m’offre donc 28 km, encore une fois sur la rallonge du circuit de vélo, que je complète en effectuant mon « turn around » un peu plus loin. De retour au bercail, j’enfourche ma monture et mouline une vingtaine de kilomètres.




Lundi, sortie de vélo en groupe avec près d’une trentaine de cyclistes membres du Club de Triathlon de St-Lambert et des amis. Malgré un 4 degrés celcius au départ, ce fut une sortie très agréable en peloton. Denrée rare dans mon cas! Après la boucle de 90 km, je poursuis en bonne compagnie en empruntant le trajet du demi-marathon. Et pour conclure ce merveilleux week-end d’entraînement, un petit brick de 4 kilomètres autour du lac suivi d’un bon repas chaud entre amis!


Pi Like a Pro



Ce week-end, j’ai suivi les conseils que Samantha McGlone donnait dans un article de Triathlete Magazine. Les conditions étaient idéales: il faisait froid et il pleuvait à boire debout. Alors voilà, je me suis pratiquée car c’est un « must » selon elle. Si vous ne savez pas de quoi je parle, eh bien tant pis… pi!

Mon week-end en chiffres

12 heures 15 minutes d’entraînement

44 km de course à pied

205 km de vélo

5500 calories

6 litres de Gatorade

3 tonnes de fun!

vendredi 15 mai 2009

Grossesse nerveuse

Une de mes copines est enceinte de son premier enfant. Sa grossesse n'est pas facile. Quand ça ne va pas bien, je pense à elle. J'ai l'impression d'être enceinte de mon Ironman et j'ai l'impression que ma grossesse ne va pas bien. Pas parce que l'entraînement ne va pas bien - j'adore m'entraîner - mais parce que je n'ai pas le goût d'être enceinte! J'ai juste hâte d'accoucher et de faire ce que je veux. Qu'est ce que je veux? Un de mes confrères a mis le doigt sur le bobo: je manque d'adrénaline! À la fin mai, l'an dernier, je comptais à mon actif une course de 10km, deux demi-marathons, un duathlon et un triathlon. Cette année, j'ai un marathon qui passe de travers dans l'âme et c'est tout.


Boston cicatrise mal et j'ai l'impression que ça gruge ma préparation pour mon Ironman.


J'étais vraiment enthousiaste et débordante de confiance tout le long de ma préparation pour Boston. Je me sentais invincible! Et là je me prépare pour Lake Placid et je me sens... Bof. Je n'ai plus d'objectif particulier sinon de me rendre à la ligne de départ et de le terminer.


Vous pouvez zapper, je suis démoralisante! En général, une chance, cet état d'esprit ne dure pas longtemps.

L'engrenage

J’ai l’impression d’avoir le doigt pris dans un engrenage et c’est moi qui l’ai inséré là. Je me prépare pour mon premier Ironman et mon seul objectif présentement est devenu de parvenir à m’entraîner jusque là. Vais-je me rendre jusqu’à la ligne de départ?

Depuis 2 jours, c’est motivation zéro.

Je suis crevée.

Mais j’ai le doigt enfoncé jusqu’au coude dans l’engrenage. Je ne peux plus reculer.

Un Ironman, c’est une gestion extrêmement serrée de son temps et de son énergie. C’est une préparation qui exige beaucoup d’égoïsme parce qu’on a le temps de ne penser qu’à soi, qu’à son entraînement. Toute utilisation du temps doit devenir extrêmement rentable et les autres, ça demande du temps. Le téléphone sonne? Ah non, shit, je n’ai pas le temps. Et j’espère que la personne ne laissera pas de message, parce que rappeler, ça demande du temps!

J’essaie de ne pas envoyer trop de courriels car ne je n’ai pas le temps de répondre à ceux qu’on m’envoie!

Le moindre geste banal que je pose, je le fais en tentant de maximiser son rendement tout en minimisant le temps que ça me prend pour le faire.

Je fais l’épicerie? Vite, vite, vite! J’accroche les vêtements pour les faire sécher? Vite, vite, vite! Merde, j’accroche du linge sur une corde à linge! Pourquoi je ne peux pas le faire tranquillement en regardant les oiseaux et sans me stresser? Parce que je n’ai pas le temps. Vite, vite, vite. Tout me stresse.

Le plancher de la cuisine est crotté. Pas le temps. Mon chat s’ennuie. Une petite caresse? Pas le temps. Quel est le dernier film que j’ai vu au cinéma? Aucune idée, pas le temps d’y penser. Combien y a-t-il de Triathlete Magazine et de Runners’ World sur la table? Aucune idée, pas le temps de compter et encore moins de lire.

Et là, je suis en train de perdre du temps. Je pourrais être en train de nager en ce moment, ou de courir. Ou encore mieux de dormir. Oui, je me sens fatiguée. J’ai envie d’avoir la paix. Mon espace vital mesure des kilomètres de diamètre parce que des kilomètres, il faut que j’en accumule sur mon odomètre pour me préparer pour Lake Placid.

Vous voulez faire un Ironman? Pensez-y comme il faut AVANT parce qu’APRÈS, vous n’aurez plus le temps.

Je réalise que j’investie énormément pour un seul événement. C’est comme se payer un voyage en Chine de 24 heures en classe affaire. Ça fait cher la minute. Un Ironman, c’est ça. Alors que je pourrais courir plein de demi-marathons, faire un paquet de duathlons et de triathlons, avoir de l’adrénaline en masse et peut-être mousser mon égaux avec quelques médailles. Mais là, je m’entraîne toute seule dans mon coin avec une foule imaginaire qui m’attend en haut de la côte. Mais cette foule, je l’entends de moins en moins. Et la côte s’allonge…

Trois semaines encore avant de récupérer 40 heures par semaine. Trois semaines. 40 heures! Wow! 40 heures par semaines de plus pour moi toute seule. J’en rêve, j’en bave.

Bravo aux femmes de 35-39 ans!




Sur la carte de résultats envoyée par le marathon de Boston, on peut lire que les femmes de mon groupe d'âge, les 35 à 39 ans, représentent 5023 femmes sur 9302 participantes. Wow, c’est plus de la moitié. Bravo les femmes de 35 -39 ans!




lundi 4 mai 2009

Trajets vélo et course du Ironman de Lake Placid

Pour ceux qui ne connaissent pas les trajets en vélo (2 boucles de 90km) et en course à pied (2 boucles de 21.1km) du Ironman de Lake Placid, les voici:

http://www.mapmyride.com/ride/united-states/ny/lake-placid/403905788

http://www.mapmyrun.com/run/united-states/ny/lake+placid/809305600824

Poids plume

Lors de mon marathon de Boston, j'ai perdu 4 livres. Deux jours plus tard, j'en avais récupéré 2. La semaine dernière, je les ai reperdues... Je pèse maintenant 100,5 livres. Comme l'an dernier, je vais surveiller mon poids et tenter de ne pas descendre sous la barre des 100!

Début officiel de mon entraînement pour mon Ironman



La semaine dernière, j’ai eu l’impression que c’était le début officiel de mon entraînement pour mon Ironman : j’ai inséré 18 heures d’entraînement parmi mes 40 heures de travail. J’ai réalisé que les 5 prochaines semaines me demanderaient une gestion encore plus stricte et rentable de mon temp si je ne veux pas empiéter sur mes heures de sommeil, déjà bousculées par un horaire jour / soir. Pourquoi les 5 prochaines semaines? Parce qu’à partir du 5 juin 16h00, je pourrai me consacrer uniquement à mon entraînement. Je jumellerai 1 mois sans solde à un mois de vacances et j’aurai une seule préoccupation : mon Ironman.

Mais d’ici là, je dois rentabiliser mon temps.

Voici un coup d’œil sur ma semaine d’entraînement (je travaillais de 4 à minuit) :

Lundi matin : 1 heure de nage + 50 min de vélo

Mardi : C’est aujourd’hui que mon marathon de Boston me rentre dans le corps. Quand j’ai le goût de pleurer pour rien, ça signifie que je suis complètement crevée. Il pleut, j’ai des intervalles à faire, mais je décide d’inverser ma journée de congé (demain) avec aujourd’hui. Je fais une sieste de 2 heures avant d’aller travailler!

Mercredi : Je me sens en super forme. Au programme, des intervalles de course à pied : 3km d’échauffement suivis par 4 x 1600m pace de demi-marathon. Je termine par 3 km de cool down. Je réussis à tenir 4min10 / km pendant mes intervalles. Good.

Jeudi : Je me lève à 9h00, ce qui m’a donné 8 heures de sommeil. Je saute sur mon vélo vers 10h00 et en débarque à 14h00 avec 105 km dans le corps. Vite, je pars faire un brick de 4 km de course à pied. À 14h20, c’est la douche. Il faut que je mange, que je prépare mon lunch et que je me grouille : je travaille à 16h00!

À 1h00 du matin, je me couche pour quelques heures de sommeil…

Vendredi : Lever du corps à 5h45. Je saute à l’eau à 7h00 pour nager 2.6 km. À 9h30, j’enfile mes souliers de courses : 26 km dans les sentiers du Parc du Mt St-Bruno. Ahhh! C’est tellement agréable! Au total, près de 300 m d’ascension. J’aurais bien aimé faire une petite sieste, mais pas le temps. Ce n’est pas grave, je me sens en super forme même si je n’ai pas beaucoup dormi.

Samedi : 90 km de vélo en côtes autour du Mont St-Hillaire. Au total 960 m d’ascension, soit un peu plus que l’équivalent d’une boucle au Ironman de Lake Placid. Au retour, un petit brick mollo.

Dimanche : Une heure de nage avec le club et 17 km de course à pied. Et cette fois, je fais une super sieste en après-midi. Je m’endors instantanément et pour 2 bonnes heures. Ahhh!