SAC no. 1 : Morning bag.
J’insère une barre « Marie-Claire » et un jus. Ainsi, je pourrai manger un petit quelque chose de supplémentaire en attendant le départ. Il y a évidemment mon wetsuit, mes lunettes de nage, du body glide. (Ça ressemble à un tube de déodorant mais sa fonction est de prévenir les brûlures provoquées par le frottement. J’en mettrai dans mon cou, sous mes aisselles et à d’autres endroits plus intimes!)
Mes vêtements « de ville » que je porte le matin seront déposés dans ce même sac et me serviront après la course. Ah oui, il y a une tuque.
Ma puce électronique est également dans ce sac. Cette puce que je place à ma cheville sera détectée par les tapis de Sporstats placés à des endroits stratégiques au long du parcours. Ainsi, mon temps de passage sera enregistré à chaque fois.
SAC NO. 2 : transition nage / vélo
Il y a beaucoup de stock dans celui là. Tout d’abord, ma nutrition. J’ai déjà placé 3 barres énergétiques sur mon vélo et les 3 autres se trouveront dans ce sac. Je mettrai les barres dans les poches de mon « singlet » (ma camisole de vélo). Il y a également des « pilules de sel » pour remplacer les électrolites que je perdrai en transpirant.
Et évidemment : mon dossard, mon casque, mes lunettes fumées, mes gants de vélo, de la crème solaire, un imperméable, des « arm warmers » (manches amovibles, au cas où il ferait froid) et des bas.
J’ai également une petite serviette pour m’essuyer les pieds avant d’enfiler mes bas.
SAC NO.3 : transition vélo / course.
J’y place mes souliers de course, évidemment. De la nutrition supplémentaire, des pilules de sel et une casquette. J’y ajoute mon deuxième dossard, au cas où le premier serait trop abîmé durant le vélo et une deuxième paire de bas. Je préfère être certaine d’avoir les pieds bien au sec avant d’entreprendre ma course.
Malheureusement, j’oublie de mettre de la crème solaire.
SAC NO. 4 : Special needs pour le vélo.
Sur mon vélo, j’ai rempli ma bouteille « Profil Design », installée sur mes aérobars, de Gatorade. Ce sera le seul liquide que je transporterai sur mon vélo. De quoi m’hydrater pendant une trentaine de kilomètres. Je préfère me ravitailler en chemin (tous les 15 km environ) avec ce que l’organisation fournira aux points d’eau.
Si jamais je n’aime pas le Gatorade qui sera distribué, j’ai inséré 3 bouteilles de vélo avec mon mélange de Gatorade à moi dans ce sac. Les sacs « special needs » sont disponibles après la première boucle de vélo à une station d’aide installée à l’entrée de la ville. Je pourrai donc m’y arrêter si nécessaire et refaire le plein.
Je ne m’en servirai finalement pas durant ma course.
SAC NO. 5 : Special needs pour la course.
J’ai décidé de ne pas l’utiliser.
J’insère une barre « Marie-Claire » et un jus. Ainsi, je pourrai manger un petit quelque chose de supplémentaire en attendant le départ. Il y a évidemment mon wetsuit, mes lunettes de nage, du body glide. (Ça ressemble à un tube de déodorant mais sa fonction est de prévenir les brûlures provoquées par le frottement. J’en mettrai dans mon cou, sous mes aisselles et à d’autres endroits plus intimes!)
Mes vêtements « de ville » que je porte le matin seront déposés dans ce même sac et me serviront après la course. Ah oui, il y a une tuque.
Ma puce électronique est également dans ce sac. Cette puce que je place à ma cheville sera détectée par les tapis de Sporstats placés à des endroits stratégiques au long du parcours. Ainsi, mon temps de passage sera enregistré à chaque fois.
SAC NO. 2 : transition nage / vélo
Il y a beaucoup de stock dans celui là. Tout d’abord, ma nutrition. J’ai déjà placé 3 barres énergétiques sur mon vélo et les 3 autres se trouveront dans ce sac. Je mettrai les barres dans les poches de mon « singlet » (ma camisole de vélo). Il y a également des « pilules de sel » pour remplacer les électrolites que je perdrai en transpirant.
Et évidemment : mon dossard, mon casque, mes lunettes fumées, mes gants de vélo, de la crème solaire, un imperméable, des « arm warmers » (manches amovibles, au cas où il ferait froid) et des bas.
J’ai également une petite serviette pour m’essuyer les pieds avant d’enfiler mes bas.
SAC NO.3 : transition vélo / course.
J’y place mes souliers de course, évidemment. De la nutrition supplémentaire, des pilules de sel et une casquette. J’y ajoute mon deuxième dossard, au cas où le premier serait trop abîmé durant le vélo et une deuxième paire de bas. Je préfère être certaine d’avoir les pieds bien au sec avant d’entreprendre ma course.
Malheureusement, j’oublie de mettre de la crème solaire.
SAC NO. 4 : Special needs pour le vélo.
Sur mon vélo, j’ai rempli ma bouteille « Profil Design », installée sur mes aérobars, de Gatorade. Ce sera le seul liquide que je transporterai sur mon vélo. De quoi m’hydrater pendant une trentaine de kilomètres. Je préfère me ravitailler en chemin (tous les 15 km environ) avec ce que l’organisation fournira aux points d’eau.
Si jamais je n’aime pas le Gatorade qui sera distribué, j’ai inséré 3 bouteilles de vélo avec mon mélange de Gatorade à moi dans ce sac. Les sacs « special needs » sont disponibles après la première boucle de vélo à une station d’aide installée à l’entrée de la ville. Je pourrai donc m’y arrêter si nécessaire et refaire le plein.
Je ne m’en servirai finalement pas durant ma course.
SAC NO. 5 : Special needs pour la course.
J’ai décidé de ne pas l’utiliser.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire