Je passe la majeure partie de ma journée seule. Mes amis et mon amoureux partent rouler. Je revérifie le contenu de mes sacs puis je vais rouler un peu sur la « rallonge », soit une vingtaine de km. Je constate que mes vitesses semblent instables sur le petit plateau… Je n’y accorde pas trop d’importance parce que je ne veux pas me stresser… Un peu nono parce qu’en fait, je l’apprendrai après ma course, des pièces sont cassées dans mon « shifter droit » ! Ça aurait pu très mal tourner!
Je me sens très détendue mais le temps passe rapidement et subitement, je suis en retard d’une demi-heure sur l’horaire que je m’étais fixée pour aller porter mon vélo à la zone de transition. Ça y est : le piton panique embarque. Je deviens très nerveuse et fébrile pour le reste de la journée.
Le soir, nous soupons avec plus d’une vingtaine de personnes au restaurant et je deviens très très émotive (eh, oui, je pleure comme une Madeleine) lorsque je quitte ma gang.
Je me sens très détendue mais le temps passe rapidement et subitement, je suis en retard d’une demi-heure sur l’horaire que je m’étais fixée pour aller porter mon vélo à la zone de transition. Ça y est : le piton panique embarque. Je deviens très nerveuse et fébrile pour le reste de la journée.
Le soir, nous soupons avec plus d’une vingtaine de personnes au restaurant et je deviens très très émotive (eh, oui, je pleure comme une Madeleine) lorsque je quitte ma gang.
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