Je ne veux absolument pas connaître mon chrono total avant de franchir le fil d’arrivée. Et même si je sais combien de temps ma nage et mon vélo m’ont pris, je n’effectue aucun calcul. Je n’ai aucune idée de l’heure et c’est parfait.
J’allume tout de même mon ordinateur de course afin de surveiller ma vitesse. Je tiens absolument à courir lentement et très confortablement. Mais je ne regarde jamais le temps qui passe.
Mon objectif est de compléter mon marathon en 4h15. Ce qui représente un pace de 6 min/km.
Le trajet débute par une descente… comme à Boston. Mon ordi indique 4 :50/ km. Ralentis Hélène, ralentis. C’est ce que je n’arrête pas de me dire. Mais je me sens vraiment très confortable à ce rythme. C’est ça le piège. Le deuxième piège à cons : partir trop vite. Alors je ralentis… autour de 5 :30/km jusqu’au premier turn around.
En me rendant, je croise Karine, une autre membre de mon club qui est bénévole à un point d’eau. Elle me prend par la main et nous courons côte à côte pendant une dizaine de secondes. Ça me donne la chair de poule. Je lui dis à quel point c’est fantastique et à quel point elle aimera son expérience l’an prochain. Je me sens euphorique. Tout se passe tellement bien. Je n’arrête pas de sourire!
Au retour, ma vitesse moyenne sera de 5 :40/km. Je parcours donc ma première boucle de 21 km en environ 2 heures. Excellent.
J’allume tout de même mon ordinateur de course afin de surveiller ma vitesse. Je tiens absolument à courir lentement et très confortablement. Mais je ne regarde jamais le temps qui passe.
Mon objectif est de compléter mon marathon en 4h15. Ce qui représente un pace de 6 min/km.
Le trajet débute par une descente… comme à Boston. Mon ordi indique 4 :50/ km. Ralentis Hélène, ralentis. C’est ce que je n’arrête pas de me dire. Mais je me sens vraiment très confortable à ce rythme. C’est ça le piège. Le deuxième piège à cons : partir trop vite. Alors je ralentis… autour de 5 :30/km jusqu’au premier turn around.
En me rendant, je croise Karine, une autre membre de mon club qui est bénévole à un point d’eau. Elle me prend par la main et nous courons côte à côte pendant une dizaine de secondes. Ça me donne la chair de poule. Je lui dis à quel point c’est fantastique et à quel point elle aimera son expérience l’an prochain. Je me sens euphorique. Tout se passe tellement bien. Je n’arrête pas de sourire!
Au retour, ma vitesse moyenne sera de 5 :40/km. Je parcours donc ma première boucle de 21 km en environ 2 heures. Excellent.
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